L’open access, c’est à dire le libre accès aux résultats, données, publications… est le rêve de tout chercheur, étudiant, etc. Mais pour l’offrir, il faut bien en payant le coût (voir « l’Open Access, comment le rendre viable ? – N.Sauval »).

Les réflexions initiées par l’AUEG permettent d’étudier les diverses voies pour parvenir à cet accès libre: La voie « green » qui correspond au travail en amont par le chercheur et son institution, et la voir « gold », dans laquelle l’institution rémunère un éditeur. C’est un challenge pour les éditeurs (« Open green, open gold« , A.Henri).

Une troisième voie est intermédiaire: On offre d’une part des parties en libre accès, gratuitement, et des services payants (« Open premium« , Marin Dacos).

Les gouvernements ont pris des décisions pour que les résultats des recherches sur fonds publics soient publiés en open access (résolution du G8, etc) et des recommandations ont été faites concernant la qualité et les règles d’éthique (les décisions politiques sur l’open access, Raymond Maynard).

C’est dans ce contexte que se développe les MOOC (Massively Open Online Courses). L’objectif est de rendre disponible les cours aux apprenants non étudiants. On imagine la révolution que le web est en train de déclencher (Fun et MOOC, A.Mille).

L’open access est un des thèmes de réflexion de l’AUEG, particulièrement bien placée entre secteur public et secteur privé, démarche qualité et création de valeur.